Affichage des articles dont le libellé est expo. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est expo. Afficher tous les articles
samedi 26 octobre 2013
mercredi 9 janvier 2013
Amore & Psiche @ Palazzo Marino
Amore e Psiche stanti, la scultura di Antonio Canova, e Psyché et
l’Amour, il dipinto di François Gérard. L’esposizione
straordinaria è dedicata ai capolavori concepiti da due tra i massimi
esponenti del Neoclassicismo, ispirati al mito di Amore e Psiche, tratta
dalle Metamorfosi di Apuleio del II sec d.C., e fonte di ispirazione
nella letteratura e nell’arte. La scultura di Antonio Canova Amore e
Psiche stanti del 1797 fissa i canoni estetici delle “sue divinità‘
ricche di dolcezza e di bellezza sensuale. Di un anno successivo è il
dipinto Psyché et l’Amour di Francois Gérard, fortemente ispirato
all’opera di Canova ma denso di un erotismo che gli assicurò un grande
successo di pubblico.
mardi 3 juillet 2012
Bramantino
Son surnom
indique qu'il fut l'élève de Bramante. Il fit toute sa carrière à
Milan, où il est cité par des documents à partir de 1490. Malgré le
nombre relativement important de ses œuvres certaines, l'absence presque
totale de datation rend aléatoires la chronologie de sa production et
la reconstitution de son évolution stylistique. Sa première œuvre semble
être l'Adoration des bergers (Milan, Ambrosienne), où l'on
perçoit une influence ferraraise qui ne peut pas s'expliquer uniquement
par l'intermédiaire de Butinone, qui aurait transmis cette influence,
mais aussi par une connaissance directe d'Ercole de' Roberti. De cette
œuvre, on peut rapprocher le Christ ressuscité (Madrid, fondation Thyssen-Bornemisza), anciennement attribué à Bramante, Philémon et Baucis (Cologne, W. R. M.), qui fait admettre l'étude personnelle des œuvres de la maturité de Mantegna, et la fresque d'Argus (Milan, Castello Sforzesco, salle du Trésor), attribuée par W. Suida à Bramante. La fresque de la Pietà provenant de l'église S. Sepolcro (Milan, Ambrosienne) et l'Adoration des mages (Londres,
N. G.), exécutées certainement entre 1500 et 1510, révèlent clairement
la double influence de Bramante et de Mantegna, et évoquent le
rapprochement avec les fresques de jeunesse, très mantegnesques, que
Corrège exécuta à S. Andrea de Mantoue. En revanche, les cartons de la
série des tapisseries des Mois, tissées pour Gian Giacomo
Trivulzio (Milan, Castello Sforzesco, document de 1509), rappellent
l'art ferrarais (fresques du palais Schifanoia ; studiolo de Belfiore).
En
1508-1509, Bramantino fait partie avec Sodoma et Lotto de l'équipe de
Peruzzi, qui travaille à la décoration des chambres du Vatican avant
l'arrivée de Raphaël. Au cours de ce séjour à Rome, il put sans doute
étudier au moins l'École d'Athènes de Raphaël. Grâce à cet
exemple, la structure architectonique de ses compositions et de chacune
de ses formes se précise définitivement en termes classiques suivant sa
propre vision. Dans cette synthèse plastique, accentuée, presque
abstraite, soutenue par une polychromie légère, opalescente,
essentiellement lombarde (par laquelle ses recherches se distinguent de
celles de ses contemporains siennois Beccafumi ou Sodoma) se profile
déjà une sorte de précoce Maniérisme.
Parmi les chefs-d'œuvre qu'il crée entre 1510 et 1520, on peut probablement inclure la Madone avec des saints (Milan, Ambrosienne), Saint Jean à Patmos (Isola Bella, coll. Borromeo), la petite Madone à l'Enfant (Brera). La Crucifixion (id., [de datation discutée]), la Madone avec huit saints (Florence, Pitti, donation Contini-Bonacossi), la Fuite en Égypte (Locarno, église Madonna del Sasso), la Pietà et la Pentecôte (église de Mezzana) semblent appartenir à sa dernière période.
Bramantino
fut aussi architecte : en 1519, il construisit à Milan la chapelle
Trivulzio (S. Nazzaro Maggiore), où se manifeste le goût d'une synthèse
dépouillée et cubique propre à l'artiste. Il eut une influence
considérable sur le début du XVIe s. lombard (Luini, Gaudenzio Ferrari, les Boccaccino et Melone à Crémone).
Article Larousse
samedi 15 octobre 2011
Anish Kapoor @ Fabbrica del Vapore
'dirty corner' is london-based artist anish kapoor's monumental site-specific installation created for the fabbrica del vapore in milan.
fully occupying the site's 'cathedral' space, the sculptural work consists of a huge steel volume that measures 60 metres long
and 8 metres high in which visitors can enter. upon entry, one begins to lose their perception of space, as it gets progressively
darker and darker until there is no light, forcing one to use their other senses to guide them through the space.
the entrance of the tunnel is goblet-shaped, featuring an interior and exterior surface that is circular,
making minimal contact with the ground. over the course of the exhibition, the work will be progressively covered by some
160 cubic metres of red soil by a large mechanical device, forming a sharp mountain of dirt in which the tunnel appears to be
running through.
fully occupying the site's 'cathedral' space, the sculptural work consists of a huge steel volume that measures 60 metres long
and 8 metres high in which visitors can enter. upon entry, one begins to lose their perception of space, as it gets progressively
darker and darker until there is no light, forcing one to use their other senses to guide them through the space.
the entrance of the tunnel is goblet-shaped, featuring an interior and exterior surface that is circular,
making minimal contact with the ground. over the course of the exhibition, the work will be progressively covered by some
160 cubic metres of red soil by a large mechanical device, forming a sharp mountain of dirt in which the tunnel appears to be
running through.
samedi 1 octobre 2011
Hommage à Georges Mathieu à l'Institut Français de Milan
Né au sein d'une famille de banquiers, Georges Mathieu s'oriente
d'abord vers des études de droit , de lettres et de philosophie. Dès
1942, il décide de se tourner vers les arts plastiques.
En 1947 il expose au Salon des réalités nouvelles des toiles à la texture faite de taches directement jaillies du tube (revendiquant la paternité du "Dripping" , technique attribuée à Jackson Pollock en 1943 ou encore Max Ernst en 1942), les couleurs étant, dans le cas de Mathieu, écrasées par le doigt de l'artiste.
Dès 1950, il expose aux États-Unis et au Japon.
À partir de 1954, il crée une multitude de tableaux, souvent lors de happenings ou performances minutées devant un public, qui mettent en valeur la rapidité et la spontanéité du geste. Ainsi, en 1956 au Théâtre Sarah-Bernhardt à Paris, Mathieu, devant près de 2000 spectateurs, crée un tableau de 4 x 12 mètres en utilisant pas moins de 800 tubes de peinture.
Il est rédacteur en chef de la revue United States Lines Paris Review de 1953 à 1962.
En 1963, année de la Grande Rétrospective au Musée d'art moderne de la Ville de Paris, il accède enfin à la consécration officielle.
Son œuvre peinte tardive (à partir de 1980) témoigne alors d une nouvelle maturité où il rompt avec les derniers vestiges de classicisme et abandonne alors la figure centrale en même temps que sa palette se fait plus vaste.
En 1947 il expose au Salon des réalités nouvelles des toiles à la texture faite de taches directement jaillies du tube (revendiquant la paternité du "Dripping" , technique attribuée à Jackson Pollock en 1943 ou encore Max Ernst en 1942), les couleurs étant, dans le cas de Mathieu, écrasées par le doigt de l'artiste.
Dès 1950, il expose aux États-Unis et au Japon.
À partir de 1954, il crée une multitude de tableaux, souvent lors de happenings ou performances minutées devant un public, qui mettent en valeur la rapidité et la spontanéité du geste. Ainsi, en 1956 au Théâtre Sarah-Bernhardt à Paris, Mathieu, devant près de 2000 spectateurs, crée un tableau de 4 x 12 mètres en utilisant pas moins de 800 tubes de peinture.
Il est rédacteur en chef de la revue United States Lines Paris Review de 1953 à 1962.
En 1963, année de la Grande Rétrospective au Musée d'art moderne de la Ville de Paris, il accède enfin à la consécration officielle.
Son œuvre peinte tardive (à partir de 1980) témoigne alors d une nouvelle maturité où il rompt avec les derniers vestiges de classicisme et abandonne alors la figure centrale en même temps que sa palette se fait plus vaste.
dimanche 28 décembre 2008
dimanche 16 novembre 2008
lundi 10 novembre 2008
dimanche 21 septembre 2008
dimanche 25 mai 2008
vendredi 9 février 2007
Beaubourg toujours !
Matisse
Beaubourg a 30 ans !
Pour fêter la maturité de ce lieu visionnaire, il fallait que je me rende, ce premier dimanche de février, au musée d'art moderne du Centre Georges Pompidou.
J'ai ainsi pu admirer quelques chefs d'oeuvre du début du siècle passé, période fort méconnue mais o combien féconde en artistes talentueux...
vendredi 22 décembre 2006
Un automne au musée...
samedi 21 octobre 2006
Changer d'ère ? Jamais !

Et bien chers amis, je ne suis pas prêt à troquer mon steak tartare et autre boeuf bourguigon contre de l'avoine ou du choux fleur transgénique de couleur pourpre !
mercredi 6 septembre 2006
mardi 1 août 2006
Fantômes d'Orient...
vendredi 28 juillet 2006
Marilyn Forever...
samedi 13 mai 2006
Derniers jours...
dimanche 18 septembre 2005
Journées du Patrimoine 2005
Ambassade de Finlande en France
Cet édifice situé à l'angle du Quai d'Orsay et de la rue Fabert est l'oeuvre de l'architecte français Jean Ginsberg. L'Ambassade de Finlande occupe les deux premiers étages de ce bâtiment imposant.
Les locaux reflètent l'esprit nordique et donnent un cadre idéal à l'art contemporain et au design finlandais. Marbre et bois, matériaux intemporels et de nature opposée, donnent le ton à ces deux étages. L'aménagement intérieur fut conçu par l'architecte finlandais Veli Paatela.
A noter, détail original, l'existence d'un sauna situé dans les sous-sols de l'Ambassade, tradition oblige...
En juillet 1962, le Conseil Municipal de Paris décida de nommer la place située devant l'Ambassade, place de Finlande.
Hôtel de Noirmoutiers
Antoine-François de la Tremoille, duc de Noirmoutiers, acheta en 1719 un terrain rue de Grenelle et confia la construction de son hôtel particulier à Jean Courtonne, architecte renommé qui construisit de nombreuses demeures aristocratiques dont l'Hôtel Matignon est l'oeuvre majeure. Il fut achevé en 1724.

Les locaux reflètent l'esprit nordique et donnent un cadre idéal à l'art contemporain et au design finlandais. Marbre et bois, matériaux intemporels et de nature opposée, donnent le ton à ces deux étages. L'aménagement intérieur fut conçu par l'architecte finlandais Veli Paatela.
A noter, détail original, l'existence d'un sauna situé dans les sous-sols de l'Ambassade, tradition oblige...
En juillet 1962, le Conseil Municipal de Paris décida de nommer la place située devant l'Ambassade, place de Finlande.
Hôtel de Noirmoutiers
Antoine-François de la Tremoille, duc de Noirmoutiers, acheta en 1719 un terrain rue de Grenelle et confia la construction de son hôtel particulier à Jean Courtonne, architecte renommé qui construisit de nombreuses demeures aristocratiques dont l'Hôtel Matignon est l'oeuvre majeure. Il fut achevé en 1724.
Après la mort du duc, la marquise de Matignon, Mademoiselle de Sens et le Prince de Condé se succédèrent en ce lieu. En 1792, l'hôtel devient bien national.
C'est en 1970 que cet hôtel devient la résidence du Préfet de la région Ile De France. Il fut classé parmi les monuments historiques en 1996.
Hôtel Rothelin - Charolais
L’Hôtel de Rothelin – Charolais a hébergé des hôtes célèbres parmi lesquels la Princesse de Charolais, le Prince de Conti, Casimir Périer ou Ledru-Rollin.
C'est en 1970 que cet hôtel devient la résidence du Préfet de la région Ile De France. Il fut classé parmi les monuments historiques en 1996.
Hôtel Rothelin - Charolais
L’Hôtel de Rothelin – Charolais a hébergé des hôtes célèbres parmi lesquels la Princesse de Charolais, le Prince de Conti, Casimir Périer ou Ledru-Rollin.
mercredi 31 août 2005
Collection Brasiliana au Musée de la Vie Romantique

Le musée de la Vie romantique célèbre l'année du Brésil en France orchestrée avec l'A.F.A.A (Association Française d'Action Artistique). Une centaine de peintures, aquarelles et dessins de la collection Brasiliana prêtée avec la collaboration de la Pinacothèque de Sao Paulo, sera montrée pour la première fois en Europe. Le noyau de cet ensemble exceptionnel, patiemment réuni par le grand marchand parisien d'objets d'art Jacques Kugel (1912-1985), fut cédé en 1996 à la Fondation brésilienne Estudar. Une exposition de charme, à l'image du patrimoine brésilien vu à travers la vision romantique d'artistes essentiellement français, mais aussi européens comme Biard, Chamberlain, Coindet, Debret, Ender, Facchinetti, d'Hastrel, Hildebrandt, Landseer, Motta, Planitz, Righini, Rugendas, Sinety, Vinet...
Inscription à :
Articles (Atom)