samedi 28 septembre 2013

Peschiera del Garda

Peschiera del Garda si trova circa 25 chilometri ad ovest di Verona. Si affaccia a sud del Lago di Garda in un'area riparata dai venti.
Presso Peschiera esce l'emissario del lago di Garda, il Mincio. La costruzione della città murata di Peschiera circondata dalle acque ha modificato il percorso naturale del fiume: per permettere la difesa della città, infatti, sono stati costruiti tre rami di uscita dal lago che si riuniscono poi a sud dell'abitato.
È inoltre punto d'inizio di una pista ciclabile di 43.5 km, che transita lungo le alzaie del fiume Mincio, tra le città di Peschiera del Garda e Mantova. La partenza, se si segue il tragitto nord-sud, è presso il viadotto ferroviario di Peschiera del Garda. La pista inizia sul lato destro del Mincio, passando nel lato sinistro subito prima del paese di Monzambano, presso la diga di Salionze.[4]
La città dispone di un'importante stazione ferroviaria sulla linea Milano-Venezia dove fermano treni Frecciabianca e EC, e anche i regionali e regionali veloci della linea Brescia-Verona. Fino al 1967, vi faceva capo anche la ferrovia Mantova-Peschiera.
Peschiera è anche dotata di un casello autostradale sull'Autostrada A4 ed è attraversata dalle strade regionali (ex statali) 11 Padana Superiore e 249 Gardesana Orientale.
Dal porto sono raggiungibili tramite battelli tutti i paesi del lago di Garda.

samedi 14 septembre 2013

Corrida de Rejon

La corrida de rejón est une forme de corrida dans laquelle le taureau est combattu par un cavalier, le rejoneador.

Elle est pratiquée partout où se pratique la corrida à pied. Son déroulement comprend, comme dans la corrida à pied, trois tercios. Le rejoneador utilise deux types de rejón. Dans le premier tercio  : le rejón de « châtiment » ou javelot de bois de 160 centimètres avec un fer de 15 centimètres fixé à la hampe par une cheville encochée. Au moment de la pose, la cheville se sépare en deux, libérant ainsi un drapeau qui sert de leurre. Dans le troisième tercio  : le « rejón de mort » (« rejón de muerte ») muni d'une lame d'épée qui remplace le fer du « rejón de châtiment ». En langue portugaise, le rejón porte le nom de farpa. C'est aussi le nom des banderilles les plus longues

dimanche 25 août 2013

Coni

Coni (Coni en français, piémontais et en occitan, Cuneo en italien) est une ville de 55 714 habitants, chef-lieu de la province de même nom dans le Piémont en Italie.
Fondée en 1198 sur un haut-plateau en triangle, elle présente une forme de « coin », placée à la confluence entre le fleuve Stura di Demonte et le torrent Gesso. Le noyau plus ancien de la ville se trouve sur la pointe de ce « triangle » et il est caractérisé par la disposition des rues à échiquier, le long d'une médiane (la rue de Rome), remontant au Moyen Âge.

lundi 15 juillet 2013

Fête nationale @ Milano

La fête nationale française (le « 14 Juillet » ou « Quatorze Juillet » ) est la fête nationale de la France. C'est un jour férié en France.
Elle a été instituée par la loi en 1880, en référence à une double date, celle du 14 juillet 1789, date de la prise de la Bastille, jour symbolique entraînant la fin de la monarchie absolue, suivi de la fin de la société d'ordres et des privilèges, et celle du 14 juillet 1790, jour d'union nationale lors de la Fête de la Fédération

dimanche 16 juin 2013

Calcio Storico Fiorentino

Le calcio florentin (appelé calcio in costume, calcio in livrea ou calcio storico fiorentino en italien) est un sport florentin de la Renaissance qui est parfois considéré par beaucoup comme l'ancêtre du football – appelé calcio en Italie.

Depuis quatre siècles, Florence se mobilise à la fin du mois de juin pour le calcio storico. Épreuve populaire, ce jeu, qui s'inspire de la lutte romaine oppose des champions de différents quartiers de Florence sur la piazza Santa Croce.


Ce n'est qu'au début du Moyen Âge que le calcio fiorentino s'est vraiment répandu dans toute la jeunesse florentine, qui le pratiqua à tous les coins de rue de leur ville. Avec le temps, et surtout pour des raisons d'ordre public, le jeu devint plus organisé. En 1580, Giovanni Bardi en a rédigé le règlement. On commença à y jouer dans les places les plus importantes de la ville. Les joueurs (giocatori ou calcianti) étaient pour la plupart des nobles, dont des futurs papes, âgés de dix-huit à quarante-cinq ans des quartiers de Santo Spirito, Santa Croce, Santa Maria Novella et San Giovanni. Ils portaient des livrées fastueuses, qui sont à l'origine des noms utilisés en italien, calcio in livrea et calcio in costume. Ils s'affrontaient dans des matches de cinquante ou soixante minutes devant une foule bruyante et dans une ambiance musicale, le jeu étant une tradition surtout carnavalesque. Les matches se finissaient généralement par une bagarre générale.
La popularité du jeu se maintient pendant tout le XVIe siècle, mais le siècle suivant sera marqué par un déclin de l'attrait pour le calcio fiorentino. Le dernier match dont on a connaissance se joua en janvier 1739 sur la piazza Santa Croce. Il fallut attendre deux siècles avant que le jeu ne redevienne populaire à Florence.

 C'est depuis ces dernières années qu'on y rejoue, quoique loin des grandes places et sans le faste médiéval, forgeant ainsi l'esprit moderne du calcio ancien (lo spirito moderno del calcio antico).
Le premier match organisé du XXe siècle se déroula en mai 1930 pour les 400 ans du siège de Florence. Pendant cette décennie des matches se jouèrent entre les équipes des quatre quartiers historiques de Florence : les Bianchi de Santo Spirito, les Azzurri de Santa Croce, les Rossi de Santa Maria Novella, et les Verdi de San Giovanni. Le sport est depuis de plus en plus populaire dans cette ville.
De nos jours, il existe un grand tournoi annuel, le Torneo dei Quattro Quartieri, composé de trois grands matches (deux éliminatoires et la finale) se déroulant au mois de juin lors de la fête du saint patron de la ville. S'affrontent 54 joueurs en costume médiéval sur la piazza Santa Croce, recouverte de sable, devant quelque 100 000 spectateurs.