La città di Sondrio ebbe origini longobarde, anche se nel suo territorio sono state ritrovate testimonianze preistoriche e dell'età romana. Il suo nome più antico è Sondrium che significa "terreno fatto lavorare direttamente dal padrone".
Come tutta la Valtellina, in epoca romana, il territorio di Sondrio appartenne al municipio di Como.
Durante le invasioni barbariche
e anche successivamente fu luogo di rifugio per i fuggiaschi,
soprattutto dalla Val Padana, i quali portarono nuove conoscenze
tecniche più perfezionate per la coltivazione della terra e per la
lavorazione del legno, della lana, delle pietre e dei metalli. Ben
presto sorse un castello dal quale un feudatario, in nome del vescovo di Como, dominava su tutta la pieve, che comprendeva quasi tutta la Valmalenco ed alcune terre vicine anche oltre l'Adda.
jeudi 26 décembre 2013
samedi 7 décembre 2013
Murano
Murano è un'isola della Laguna Veneta, situata a nord-est di Venezia, lungo il canale dei Marani.
Come la stessa Venezia, nella realtà è composta da sette isole minori, di cui due di origine artificiale (Sacca Serenella e Sacca San Mattia), divise da canali e rii e collegate tra loro da ponti. È totalmente urbanizzata (escludendo la Sacca S. Mattia tuttora in fase di bonifica) e, con circa 4.500 abitanti, risulta essere uno dei centri più popolosi della Laguna. La località è nota in tutto il mondo per il plurisecolare artigianato della lavorazione del vetro.
Come la stessa Venezia, nella realtà è composta da sette isole minori, di cui due di origine artificiale (Sacca Serenella e Sacca San Mattia), divise da canali e rii e collegate tra loro da ponti. È totalmente urbanizzata (escludendo la Sacca S. Mattia tuttora in fase di bonifica) e, con circa 4.500 abitanti, risulta essere uno dei centri più popolosi della Laguna. La località è nota in tutto il mondo per il plurisecolare artigianato della lavorazione del vetro.
mardi 12 novembre 2013
Escapade en Campanie
La région de Campanie (en italien : Regione Campania), plus couramment appelée la Campanie, est une région d'Italie méridionale. Le mot Campanie viendrait soit du terme latin campus (la campagne), soit du terme osque Kampanom, désignant la région autour de la ville de Capoue (Capua), qui était alors la ville principale de cette région méridionale de la péninsule italienne.
L'île d'Ischia est une île italienne située en mer Tyrrhénienne, au nord du golfe de Naples, dans le groupe des îles Phlégréennes. Elle couvre une surface de 47 km2, mesure 10 km d'est en ouest et 7 km du nord au sud. Ses quelque 62 000 habitants1 en font la troisième île italienne en termes de population, après la Sicile et la Sardaigne.
L'île d'Ischia est une île italienne située en mer Tyrrhénienne, au nord du golfe de Naples, dans le groupe des îles Phlégréennes. Elle couvre une surface de 47 km2, mesure 10 km d'est en ouest et 7 km du nord au sud. Ses quelque 62 000 habitants1 en font la troisième île italienne en termes de population, après la Sicile et la Sardaigne.
mardi 5 novembre 2013
Virée en Toscane
Le mot « Toscane » est apparu au Xe siècle, dérivé de l’antique « Tuscia » qui désigna, à partir du IIIe siècle, l’ancienne Étrurie, territoire des Étrusques ou Tuscie, compris entre le Tibre et l’Arno.
Les Étrusques sont apparus comme civilisation au VIIIe siècle av. J.-C. et ils sont parvenus, au VIe siècle av. J.-C., à l'apogée de leur civilisation. Ils furent absorbés par Rome au Ie siècle av. J.-C.
L'Étrurie, le territoire de leur dodécapole régionale, correspondait approximativement aux limites de l’actuelle Toscane.
Grâce à une puissante flotte qu’ils s'étaient constituée, les Étrusques établirent avec l’Orient (Grèce, Chypre, Syrie...), la Gaule, l’Espagne et l’Afrique (Carthage), des échanges commerciaux, exportant le fer et le cuivre toscan, important des tissus, des bijoux, de l’ivoire, de la céramique, etc.
Ils cherchèrent à étendre leur domination vers le sud où, durant la seconde moitié du VIIe siècle av. J.-C., ils occupèrent le pays latin. Ils s’installèrent sur le site de Rome, qui pendant plus d'un siècle, fut gouverné par des rois originaires d'Étrurie, les Tarquins.
Vers le début du VIe siècle av. J.-C., ils s'aventurèrent en Campanie, mais se heurtèrent aux Grecs, installés en Italie du sud (ou Grande Grèce). Au nord, ils essaimèrent vers la fin du VIe siècle av. J.-C., dans une grande partie de la Plaine du Pô, y fondant notamment Bologne (alors appelée Felsina), ainsi que le port de Spina (aujourd’hui dans le delta du Pô), d'où ils pouvaient contrôler le commerce de l'Adriatique.
L'Étrurie formait une fédération de douze « cités-états » groupées en dodécapole, et nommées lucumonies car gouvernées par un roi appelé « Lucumon », dont l’union demeura plus de nature religieuse que politique.
À la fin du VIe siècle av. J.-C., Tarquin le Superbe, dernier des rois de Rome fut chassé. Au début du siècle suivant, les Étrusques, ainsi coupés de la Campanie, tentèrent en vain d’atteindre celle-ci par voie de mer et se firent définitivement battre par les Grecs. Menacées au IIIe siècle, leurs cités tombèrent une à une devant la puissance grandissante de Rome : la chute de leur capitale religieuse, Velzna, en 265 av. J.-C., marque la fin de leur indépendance.
Finalement, il faut retenir de cette brillante civilisation leur art raffiné qui témoigne de leur ingéniosité, et leurs nombreux apports à la civilisation romaine.
Les Étrusques sont apparus comme civilisation au VIIIe siècle av. J.-C. et ils sont parvenus, au VIe siècle av. J.-C., à l'apogée de leur civilisation. Ils furent absorbés par Rome au Ie siècle av. J.-C.
L'Étrurie, le territoire de leur dodécapole régionale, correspondait approximativement aux limites de l’actuelle Toscane.
Grâce à une puissante flotte qu’ils s'étaient constituée, les Étrusques établirent avec l’Orient (Grèce, Chypre, Syrie...), la Gaule, l’Espagne et l’Afrique (Carthage), des échanges commerciaux, exportant le fer et le cuivre toscan, important des tissus, des bijoux, de l’ivoire, de la céramique, etc.
Ils cherchèrent à étendre leur domination vers le sud où, durant la seconde moitié du VIIe siècle av. J.-C., ils occupèrent le pays latin. Ils s’installèrent sur le site de Rome, qui pendant plus d'un siècle, fut gouverné par des rois originaires d'Étrurie, les Tarquins.
Vers le début du VIe siècle av. J.-C., ils s'aventurèrent en Campanie, mais se heurtèrent aux Grecs, installés en Italie du sud (ou Grande Grèce). Au nord, ils essaimèrent vers la fin du VIe siècle av. J.-C., dans une grande partie de la Plaine du Pô, y fondant notamment Bologne (alors appelée Felsina), ainsi que le port de Spina (aujourd’hui dans le delta du Pô), d'où ils pouvaient contrôler le commerce de l'Adriatique.
L'Étrurie formait une fédération de douze « cités-états » groupées en dodécapole, et nommées lucumonies car gouvernées par un roi appelé « Lucumon », dont l’union demeura plus de nature religieuse que politique.
À la fin du VIe siècle av. J.-C., Tarquin le Superbe, dernier des rois de Rome fut chassé. Au début du siècle suivant, les Étrusques, ainsi coupés de la Campanie, tentèrent en vain d’atteindre celle-ci par voie de mer et se firent définitivement battre par les Grecs. Menacées au IIIe siècle, leurs cités tombèrent une à une devant la puissance grandissante de Rome : la chute de leur capitale religieuse, Velzna, en 265 av. J.-C., marque la fin de leur indépendance.
Finalement, il faut retenir de cette brillante civilisation leur art raffiné qui témoigne de leur ingéniosité, et leurs nombreux apports à la civilisation romaine.
lundi 28 octobre 2013
samedi 26 octobre 2013
jeudi 10 octobre 2013
Il cielo di Verdi @ Planetario di Milano
Il cielo di Verdi
L'Astronomia sotto le stelle dell'Ottocento Conferenza di Anna Maria Lombardi; giovedì 10 ottobre 2013 - ore 21:00 Il 10 ottobre 1813 nasceva Giuseppe Verdi e in suo onore trascorreremo la serata "al placido chiaror di un ciel stellato", sotto le stelle del Planetario! Le celebri melodie del musicista di Roncole di Busseto ci guideranno attraverso l'intero Ottocento, ad esplorarne i momenti più significativi per la storia dell’astronomia. Spettri e spettroscopia, Luna, Sole e stelle, amor patrio ed orizzonte internazionale (ed extraterrestre) sono alcune delle chiavi che ci permetteranno di accedere ad una lettura del... Cielo di Verdi. |
samedi 28 septembre 2013
Peschiera del Garda
Peschiera del Garda si trova circa 25 chilometri ad ovest di Verona. Si affaccia a sud del Lago di Garda in un'area riparata dai venti.
Presso Peschiera esce l'emissario del lago di Garda, il Mincio. La costruzione della città murata di Peschiera circondata dalle acque ha modificato il percorso naturale del fiume: per permettere la difesa della città, infatti, sono stati costruiti tre rami di uscita dal lago che si riuniscono poi a sud dell'abitato.
È inoltre punto d'inizio di una pista ciclabile di 43.5 km, che transita lungo le alzaie del fiume Mincio, tra le città di Peschiera del Garda e Mantova. La partenza, se si segue il tragitto nord-sud, è presso il viadotto ferroviario di Peschiera del Garda. La pista inizia sul lato destro del Mincio, passando nel lato sinistro subito prima del paese di Monzambano, presso la diga di Salionze.[4]
La città dispone di un'importante stazione ferroviaria sulla linea Milano-Venezia dove fermano treni Frecciabianca e EC, e anche i regionali e regionali veloci della linea Brescia-Verona. Fino al 1967, vi faceva capo anche la ferrovia Mantova-Peschiera.
Peschiera è anche dotata di un casello autostradale sull'Autostrada A4 ed è attraversata dalle strade regionali (ex statali) 11 Padana Superiore e 249 Gardesana Orientale.
Dal porto sono raggiungibili tramite battelli tutti i paesi del lago di Garda.
Presso Peschiera esce l'emissario del lago di Garda, il Mincio. La costruzione della città murata di Peschiera circondata dalle acque ha modificato il percorso naturale del fiume: per permettere la difesa della città, infatti, sono stati costruiti tre rami di uscita dal lago che si riuniscono poi a sud dell'abitato.
È inoltre punto d'inizio di una pista ciclabile di 43.5 km, che transita lungo le alzaie del fiume Mincio, tra le città di Peschiera del Garda e Mantova. La partenza, se si segue il tragitto nord-sud, è presso il viadotto ferroviario di Peschiera del Garda. La pista inizia sul lato destro del Mincio, passando nel lato sinistro subito prima del paese di Monzambano, presso la diga di Salionze.[4]
La città dispone di un'importante stazione ferroviaria sulla linea Milano-Venezia dove fermano treni Frecciabianca e EC, e anche i regionali e regionali veloci della linea Brescia-Verona. Fino al 1967, vi faceva capo anche la ferrovia Mantova-Peschiera.
Peschiera è anche dotata di un casello autostradale sull'Autostrada A4 ed è attraversata dalle strade regionali (ex statali) 11 Padana Superiore e 249 Gardesana Orientale.
Dal porto sono raggiungibili tramite battelli tutti i paesi del lago di Garda.
samedi 14 septembre 2013
Corrida de Rejon
La corrida de rejón est une forme de corrida dans laquelle le taureau est combattu par un cavalier, le rejoneador.
Elle est pratiquée partout où se pratique la corrida à pied. Son déroulement comprend, comme dans la corrida à pied, trois tercios. Le rejoneador utilise deux types de rejón. Dans le premier tercio : le rejón de « châtiment » ou javelot de bois de 160 centimètres avec un fer de 15 centimètres fixé à la hampe par une cheville encochée. Au moment de la pose, la cheville se sépare en deux, libérant ainsi un drapeau qui sert de leurre. Dans le troisième tercio : le « rejón de mort » (« rejón de muerte ») muni d'une lame d'épée qui remplace le fer du « rejón de châtiment ». En langue portugaise, le rejón porte le nom de farpa. C'est aussi le nom des banderilles les plus longues
Elle est pratiquée partout où se pratique la corrida à pied. Son déroulement comprend, comme dans la corrida à pied, trois tercios. Le rejoneador utilise deux types de rejón. Dans le premier tercio : le rejón de « châtiment » ou javelot de bois de 160 centimètres avec un fer de 15 centimètres fixé à la hampe par une cheville encochée. Au moment de la pose, la cheville se sépare en deux, libérant ainsi un drapeau qui sert de leurre. Dans le troisième tercio : le « rejón de mort » (« rejón de muerte ») muni d'une lame d'épée qui remplace le fer du « rejón de châtiment ». En langue portugaise, le rejón porte le nom de farpa. C'est aussi le nom des banderilles les plus longues
dimanche 25 août 2013
Coni
Coni (Coni en français, piémontais et en occitan, Cuneo en italien) est une ville de 55 714 habitants, chef-lieu de la province de même nom dans le Piémont en Italie.
Fondée en 1198 sur un haut-plateau en triangle, elle présente une forme de « coin », placée à la confluence entre le fleuve Stura di Demonte et le torrent Gesso. Le noyau plus ancien de la ville se trouve sur la pointe de ce « triangle » et il est caractérisé par la disposition des rues à échiquier, le long d'une médiane (la rue de Rome), remontant au Moyen Âge.
Fondée en 1198 sur un haut-plateau en triangle, elle présente une forme de « coin », placée à la confluence entre le fleuve Stura di Demonte et le torrent Gesso. Le noyau plus ancien de la ville se trouve sur la pointe de ce « triangle » et il est caractérisé par la disposition des rues à échiquier, le long d'une médiane (la rue de Rome), remontant au Moyen Âge.
lundi 15 juillet 2013
Fête nationale @ Milano
La fête nationale française (le « 14 Juillet » ou « Quatorze Juillet » ) est la fête nationale de la France. C'est un jour férié en France.
Elle a été instituée par la loi en 1880, en référence à une double date, celle du 14 juillet 1789, date de la prise de la Bastille, jour symbolique entraînant la fin de la monarchie absolue, suivi de la fin de la société d'ordres et des privilèges, et celle du 14 juillet 1790, jour d'union nationale lors de la Fête de la Fédération
Elle a été instituée par la loi en 1880, en référence à une double date, celle du 14 juillet 1789, date de la prise de la Bastille, jour symbolique entraînant la fin de la monarchie absolue, suivi de la fin de la société d'ordres et des privilèges, et celle du 14 juillet 1790, jour d'union nationale lors de la Fête de la Fédération
dimanche 16 juin 2013
Calcio Storico Fiorentino
Le calcio florentin (appelé calcio in costume, calcio in livrea ou calcio storico fiorentino en italien) est un sport florentin de la Renaissance qui est parfois considéré par beaucoup comme l'ancêtre du football – appelé calcio en Italie.
Depuis quatre siècles, Florence se mobilise à la fin du mois de juin pour le calcio storico. Épreuve populaire, ce jeu, qui s'inspire de la lutte romaine oppose des champions de différents quartiers de Florence sur la piazza Santa Croce.
Ce n'est qu'au début du Moyen Âge que le calcio fiorentino s'est vraiment répandu dans toute la jeunesse florentine, qui le pratiqua à tous les coins de rue de leur ville. Avec le temps, et surtout pour des raisons d'ordre public, le jeu devint plus organisé. En 1580, Giovanni Bardi en a rédigé le règlement. On commença à y jouer dans les places les plus importantes de la ville. Les joueurs (giocatori ou calcianti) étaient pour la plupart des nobles, dont des futurs papes, âgés de dix-huit à quarante-cinq ans des quartiers de Santo Spirito, Santa Croce, Santa Maria Novella et San Giovanni. Ils portaient des livrées fastueuses, qui sont à l'origine des noms utilisés en italien, calcio in livrea et calcio in costume. Ils s'affrontaient dans des matches de cinquante ou soixante minutes devant une foule bruyante et dans une ambiance musicale, le jeu étant une tradition surtout carnavalesque. Les matches se finissaient généralement par une bagarre générale.
La popularité du jeu se maintient pendant tout le XVIe siècle, mais le siècle suivant sera marqué par un déclin de l'attrait pour le calcio fiorentino. Le dernier match dont on a connaissance se joua en janvier 1739 sur la piazza Santa Croce. Il fallut attendre deux siècles avant que le jeu ne redevienne populaire à Florence.
C'est depuis ces dernières années qu'on y rejoue, quoique loin des grandes places et sans le faste médiéval, forgeant ainsi l'esprit moderne du calcio ancien (lo spirito moderno del calcio antico).
Le premier match organisé du XXe siècle se déroula en mai 1930 pour les 400 ans du siège de Florence. Pendant cette décennie des matches se jouèrent entre les équipes des quatre quartiers historiques de Florence : les Bianchi de Santo Spirito, les Azzurri de Santa Croce, les Rossi de Santa Maria Novella, et les Verdi de San Giovanni. Le sport est depuis de plus en plus populaire dans cette ville.
De nos jours, il existe un grand tournoi annuel, le Torneo dei Quattro Quartieri, composé de trois grands matches (deux éliminatoires et la finale) se déroulant au mois de juin lors de la fête du saint patron de la ville. S'affrontent 54 joueurs en costume médiéval sur la piazza Santa Croce, recouverte de sable, devant quelque 100 000 spectateurs.
Depuis quatre siècles, Florence se mobilise à la fin du mois de juin pour le calcio storico. Épreuve populaire, ce jeu, qui s'inspire de la lutte romaine oppose des champions de différents quartiers de Florence sur la piazza Santa Croce.
Ce n'est qu'au début du Moyen Âge que le calcio fiorentino s'est vraiment répandu dans toute la jeunesse florentine, qui le pratiqua à tous les coins de rue de leur ville. Avec le temps, et surtout pour des raisons d'ordre public, le jeu devint plus organisé. En 1580, Giovanni Bardi en a rédigé le règlement. On commença à y jouer dans les places les plus importantes de la ville. Les joueurs (giocatori ou calcianti) étaient pour la plupart des nobles, dont des futurs papes, âgés de dix-huit à quarante-cinq ans des quartiers de Santo Spirito, Santa Croce, Santa Maria Novella et San Giovanni. Ils portaient des livrées fastueuses, qui sont à l'origine des noms utilisés en italien, calcio in livrea et calcio in costume. Ils s'affrontaient dans des matches de cinquante ou soixante minutes devant une foule bruyante et dans une ambiance musicale, le jeu étant une tradition surtout carnavalesque. Les matches se finissaient généralement par une bagarre générale.
La popularité du jeu se maintient pendant tout le XVIe siècle, mais le siècle suivant sera marqué par un déclin de l'attrait pour le calcio fiorentino. Le dernier match dont on a connaissance se joua en janvier 1739 sur la piazza Santa Croce. Il fallut attendre deux siècles avant que le jeu ne redevienne populaire à Florence.
C'est depuis ces dernières années qu'on y rejoue, quoique loin des grandes places et sans le faste médiéval, forgeant ainsi l'esprit moderne du calcio ancien (lo spirito moderno del calcio antico).
Le premier match organisé du XXe siècle se déroula en mai 1930 pour les 400 ans du siège de Florence. Pendant cette décennie des matches se jouèrent entre les équipes des quatre quartiers historiques de Florence : les Bianchi de Santo Spirito, les Azzurri de Santa Croce, les Rossi de Santa Maria Novella, et les Verdi de San Giovanni. Le sport est depuis de plus en plus populaire dans cette ville.
De nos jours, il existe un grand tournoi annuel, le Torneo dei Quattro Quartieri, composé de trois grands matches (deux éliminatoires et la finale) se déroulant au mois de juin lors de la fête du saint patron de la ville. S'affrontent 54 joueurs en costume médiéval sur la piazza Santa Croce, recouverte de sable, devant quelque 100 000 spectateurs.
lundi 10 juin 2013
vendredi 31 mai 2013
Kasabian @ piazza Duomo
I Kasabian sono un gruppo musicale rock britannico formatosi nel 1997 a Leicester.
Fanno parte del gruppo sin dagli esordi il cantante Tom Meighan, il chitarrista e paroliere Sergio Pizzorno e il bassista Chris Edwards, mentre dal 2005 è membro ufficiale della band anche il batterista Ian Matthews. Dagli inizi fino al 2006 ha fatto parte della band anche il polistrumentista e paroliere Christopher Karloff.
Il loro primo disco, omonimo, esce nel 2004, ottenendo un buon successo di pubblico e critica che porta la band in tour in tutta Europa, dove il loro stile a metà tra il rock anni sessanta/settanta e l'elettronica da rave party fa di loro una delle principali band emergenti di quell'anno. Il loro secondo album, Empire, esce nel 2006 e segna una svolta verso sonorità più alla moda, anche se l'influenza di gruppi come i Led Zeppelin risulta evidente, specialmente in canzoni come il singolo Shoot the Runner. Nel 2009 la band pubblica per la prima volta senza la formazione originale West Ryder Pauper Lunatic Asylum, mentre nel 2011 viene pubblicato il quarto album Velociraptor!, con il quale la band ottiene un grande successo anche al di fuori del Regno Unito[5].
Sono inoltre famosi per le loro energiche esibizioni dal vivo
lundi 27 mai 2013
Trieste
Trieste [tri'ɛs:te] (anciennement Tergeste en latin, Trst en slovène, Triest enallemand, Trieszt en hongrois), est une ville italienne située au pied des Alpes dinariques sur la mer Adriatique au bord du golfe de Trieste et de la baie deMuggia, à proximité de la frontière italo-slovène. Elle est le chef-lieu de la région de Frioul-Vénétie julienne et de la province de Trieste.
Trieste compte en 2009 environ 205 000 habitants appelés les Triestins. Géographiquement, elle est parfois considérée « dernière ville du Nord-Est » de l'Italie, ou « ville de l'extrême Sud » de l'Europe centrale ou bien « première ville » de la nouvelle Europe élargie à l'Est. L'histoire complexe de Trieste qui fut longtemps le principal débouché méditerranéen du Saint-Empire romain germanique puis de l'Empire austro-hongrois avant le rattachement à l'Italie, et sa position au carrefour des influences latine/italienne, germanique/autrichienneet slave/slovène, ont forgé ici une culture et des traditions très particulières par rapport au reste de l'Italie.
Les ressources de la ville sont avant tout dues au port international, rival de celui de Venise, ainsi qu'aux activités qui y sont liées : chantiers navals, sidérurgie, raffineries de pétrole. Le commerce joue dans l'économie de la ville un rôle particulièrement important. Le tourisme y est en progression (le château de Miramare reste l'un des châteaux les plus visités d'Italie). Son université fondée en 1924 est renommée. Trieste est connue pour être une « cité des sciences » et accueille sur son territoire le synchrotron ELETTRA2. Cette ville frontalière a été élue première ville italienne pour sa qualité de vie en 2009 par le quotidien économique Il Sole-24 Ore3 car « elle allie tout le confort d'une métropole au bien-être que procure une nature foisonnante et multiple4 ».
samedi 4 mai 2013
Varenna
Mentionné comme village de pêcheurs dès 769, plus tard vassal des Communes de Milan, il fut détruit par les milices de Côme en 1126. Il recueillit les réfugiés de l'Île Comacina, qui connut un sort comparable en 1169 : village mis à sac, château rasé et église détruite.
Les quartiers des réfugiés prirent ainsi le nom d’Insula nova, nom qui peut recouvrir l'enceinte du château, qui devint bientôt l'un des plus opulents du lac de Côme.
Il y a encore quelques années, on célébrait ainsi les exilés de Côme et leur accueil à Varenna, le samedi et le dimanche de la semaine de la Saint-Jean, le 24 juin : le lac était illuminé par des milliers de lampions (lumaghitti), mis à flots et abandonnés au lac pour évoquer les âmes des réfugiés fuyant leur village en proie aux flammes pour gagner l'autre rive.
Les célèbres Maestri comacini sont des descendants de ces réfugiés.
Quoiqu'elle dépende de l'archidiocèse de Milan, Varenna est de rite romain ambrosien.
jeudi 25 avril 2013
Laveno-Mombello
Situér à l'intérieur d'une baie du lac Majeur, Laveno-Mombello est une commune italienne de la province de Varèse dans la région Lombardie en Italie.
samedi 20 avril 2013
dimanche 14 avril 2013
Lido de Venise
Le Lido de Venise est un fin cordon littoral qui s’étire sur une douzaine de kilomètres entre la lagune de Venise et la mer Adriatique dans la région de Vénétie en Italie du nord.
Le Lido s’étend entre le port de San Nicolò et le port de Malamocco, relié à la cité de Venise et la terre ferme par liaisons fluvialesferry-boat et vaporetti. C’est une des rares îles de la lagune où des routes carrossables sont présentes.
L’île est caractérisée par des constructions du xviiie siècle, telles que les « murazzi », œuvres de défense de la lagune contre la mer, qui s’étendent presque jusqu’à l’esplanade du Casino et du Palais du Cinéma, construits dans les années 1930.
Vers le centre de l’île, l’architecture s’enrichit d’édifices de style « liberty » et de zones de verdure telles que le Granviale, la rue large et arborée qui traverse l’île perpendiculairement et qui possède plusieurs édifices et hôtels du xixe siècle.
De l’esplanade, depuis le monuments aux morts de la Première Guerre mondiale, la Riviera San Nicolò est une longue allée qui longe la lagune et mène jusqu’à San Nicolò, où se trouve la plus grande fortification de l’île et l’église reconstruite au xviie siècle. C’est à cet endroit que le jour de l'Ascension est toujours célébré lors de la « fête de la Sensa » (mariage de la mer).
Le Lido s’étend entre le port de San Nicolò et le port de Malamocco, relié à la cité de Venise et la terre ferme par liaisons fluvialesferry-boat et vaporetti. C’est une des rares îles de la lagune où des routes carrossables sont présentes.
L’île est caractérisée par des constructions du xviiie siècle, telles que les « murazzi », œuvres de défense de la lagune contre la mer, qui s’étendent presque jusqu’à l’esplanade du Casino et du Palais du Cinéma, construits dans les années 1930.
Vers le centre de l’île, l’architecture s’enrichit d’édifices de style « liberty » et de zones de verdure telles que le Granviale, la rue large et arborée qui traverse l’île perpendiculairement et qui possède plusieurs édifices et hôtels du xixe siècle.
De l’esplanade, depuis le monuments aux morts de la Première Guerre mondiale, la Riviera San Nicolò est une longue allée qui longe la lagune et mène jusqu’à San Nicolò, où se trouve la plus grande fortification de l’île et l’église reconstruite au xviie siècle. C’est à cet endroit que le jour de l'Ascension est toujours célébré lors de la « fête de la Sensa » (mariage de la mer).
À côte de l’église, le cimetière israélite de 1389, restauré, est visitable. Sur la partie opposée, une autre large allée longe la mer sur toute la longueur de l’île.
La plage du Lido doit sa renommée aux dunes naturelles de sable fin et doré, ainsi qu’à son eau claire et calme, protégée par les deux digues de San Nicolò au nord et d’Alberoni au sud, et aux autres digues intermédiaires perpendiculaires au cordon littoral.
La plage du Lido doit sa renommée aux dunes naturelles de sable fin et doré, ainsi qu’à son eau claire et calme, protégée par les deux digues de San Nicolò au nord et d’Alberoni au sud, et aux autres digues intermédiaires perpendiculaires au cordon littoral.
Au nord se trouve le port du Lido, large de 800 m et profond de 12 m, sépare l’île de celle de Cavallino-Treporti. Le canal, voix d’accès au port de Venise, est en cours de travaux de défense contre les marées dans le cadre du Projet Mose (projet très contesté pour son inefficacité et impact sur la nature).
Au sud se trouve le port de Malamocco, voix d’accès des gros navires et pétroliers vers le port de Marghera et Mestre (Venise).
Au sud se trouve le port de Malamocco, voix d’accès des gros navires et pétroliers vers le port de Marghera et Mestre (Venise).
vendredi 15 mars 2013
Cosi era Milano : porta Orientale
Porta Venezia (già Porta Orientale fino al 1860, Porta Riconoscenza in epoca napoleonica) è una delle sei porte principali di Milano, ricavata all'interno dei Bastioni. Posta a nord-est della città, si apriva lungo la strada per Gorgonzola. Caratterizzata oggi dalla presenza dei caselli neoclassici del Vantini (1827-1828), sorge al centro di piazza Oberdan, allo sbocco di corso Venezia.
In passato Porta Orientale identificava inoltre uno dei sei sestieri storici in cui era divisa la città, il Sestiere di Porta Orientale.
Secondo le cronache seicentesche, un certo Pietro Antonio Lovato, dopo aver abbandonato l'esercito dei Lanzichenecchi, entrò a Milano per questa porta con vestiti ed averi infetti per la peste: da questi si sarebbe diffusa la terribile epidemia del 1630 nella città ambrosiana. Da questa porta inoltre Renzo Tramaglino compie il suo ingresso a Milano nei Promessi Sposi.[1]
Con la venuta in Italia di Napoleone, mutò definitivamente la concezione della porta cittadina, non più struttura difensiva o semplice sede del dazio, ma vero e proprio monumento capace di impreziosire e aumentare il prestigio della città. Il rifacimento in chiave monumentale delle porte cittadine subì pertanto un incentivo sotto il governo del Melzi d'Eril, che prevedeva inoltre la risistemazione in chiave paesaggistica dei Bastioni. Con queste premesse venne ripreso in considerazione il problema dell'incompiuta Porta Orientale, ribattezzata nel frattempo Porta Riconoscenza. Nel 1806 in occasione dell'ingresso a Milano del viceré Eugenio di Beauharnais, giunto in città per le nozze con Augusta di Baviera, venne incaricato il Cagnola della realizzazione di un arco trionfale provvisorio: l'arco, monoforo, si ispirava a quello di Tito a Roma, era coronato da una quadriga con gli sposi raffigurati tra statue di Vittorie alate ed era preceduto da una scala affiancata da obelischi. Tale realizzazione avrebbe dovuto poi tradursi in marmo, nella sua versione permanente, come deliberato il 19 febbraio 1806 dal Consiglio Comunale; tuttavia il progetto non trovò mai attuazione.
Niente ancora era stato ancora fatto nel 1825, quando si dovette allestire un nuovo arco monumentale provvisorio in cartongesso, su progetto sempre del Cagnola, per celebrare l'ingresso a Milano dell'Imperatore d'Austria Francesco I e di sua moglie l'Imperatrice Carolina Augusta, avvenuto il 10 maggio 1825. Il Cagnola preparò per l'occasione due progetti: l'uno caratterizzato da un portico tetrastilo architravato, ornato da una quadriga ed altre statue, l'altro - quello che venne poi scelto - caratterizzato da un arco a tre fornici, di cui si conserva un modello in bronzo in scala 1:28 alla Pinacoteca Ambrosiana. Anche in questo caso tuttavia non si riuscì a tradurre in permanente l'arco provvisorio, malgrado le insistenze - ancora nel 1818 - da parte del Cagnola di smontare quanto edificato a Porta Sempione[2], per trasferirlo a Porta Orientale.
Nel 1857 in occasione della visita a Milano dell'Imperatore d'Austria Francesco Giuseppe e della consorte Elisabetta, venne eretto un arco di trionfo temporaneo, in legno, fra i due caselli. Al tempo era usanza di erigere questo genere di architetture temporanee in occasioni particolarmente solenni: in occasione della stessa visita, sul percorso del corteo imperiale, venne eretta una cappella in stile neoromanico al Rondò di Loreto e un palco d'onore con baldacchino in piazza Duomo, sul lato del Coperto dei Figini.
Nel 1860 venne ribattezzata Porta Venezia, in nome della città rimasta austriaca dopo l'"incompiuta" seconda guerra d'indipendenza (1859) e nel 1882 la grande piazza, su cui sboccano ben otto strade,[3] venne intitolata a Guglielmo Oberdan, l'irredentista giuliano impiccato dagli austriaci.
In passato è stata conosciuta anche come Porta Renza, storpiatura come nel caso di Porta Orientale della primitiva Porta Argentea di età romana. L'antica denominazione di Porta Venezia non si riferisce - come è dato comunemente credere - al fatto che sorgesse ad est della città (denominazione che non avrebbe neanche una sua ragione d'essere, dal momento che non è la più orientale della città, bensì lo sarebbe Porta Tosa, la sua succursale già all'epoca della costruzione delle mura medievali). Essa deriverebbe invece dall'antico toponimo latino della porta, che si apriva verso Argentiacum, l'attuale Crescenzago.[4]
In passato Porta Orientale identificava inoltre uno dei sei sestieri storici in cui era divisa la città, il Sestiere di Porta Orientale.
La porta spagnola (XVI secolo)
La Porta Venezia attuale che si apre nei Bastioni di Milano sorse sullo stesso asse viario (oggi corso Venezia) su cui erano sorte in precedenza le omonime porte di epoca romana (sul tracciato delle Mura romane) e di epoca medievale (sul tracciato delle Mura medievali).Secondo le cronache seicentesche, un certo Pietro Antonio Lovato, dopo aver abbandonato l'esercito dei Lanzichenecchi, entrò a Milano per questa porta con vestiti ed averi infetti per la peste: da questi si sarebbe diffusa la terribile epidemia del 1630 nella città ambrosiana. Da questa porta inoltre Renzo Tramaglino compie il suo ingresso a Milano nei Promessi Sposi.[1]
Il primo rifacimento del Piermarini (1782)
Porta Orientale, per la privilegiata posizione che rivestiva essendo rivolta verso Vienna e l'Austria, fu la prima fra le porte cittadine per la quale verso la fine del XVIII secolo si pensò ed operò un rifacimento in chiave monumentale. L'architetto designato fu Giuseppe Piermarini, protagonista fino alla sua morte (avvenuta nel 1808) del rinnovamento urbanistico e architettonico della città. Al tempo la porta, così come il vicino tratto di Bastioni, aveva perso ogni funzione difensiva, e veniva impiegata unicamente per la riscossione del dazio. Il Piermarini, che già era impegnato nella realizzazione dei vicini Giardini Pubblici e nella sistemazione a passeggiata dei vicini Bastioni, cominciò i lavori per il nuovo complesso in stile neoclassico nel 1787, ma fu presto interrotto per via di aspre critiche al progetto. Sempre del 1787 si ricorda un progetto alternativo di caselli daziari, proposto dal Cagnola in opposizione a quello del Piermarini, che non venne comunque tenuto in considerazione.Con la venuta in Italia di Napoleone, mutò definitivamente la concezione della porta cittadina, non più struttura difensiva o semplice sede del dazio, ma vero e proprio monumento capace di impreziosire e aumentare il prestigio della città. Il rifacimento in chiave monumentale delle porte cittadine subì pertanto un incentivo sotto il governo del Melzi d'Eril, che prevedeva inoltre la risistemazione in chiave paesaggistica dei Bastioni. Con queste premesse venne ripreso in considerazione il problema dell'incompiuta Porta Orientale, ribattezzata nel frattempo Porta Riconoscenza. Nel 1806 in occasione dell'ingresso a Milano del viceré Eugenio di Beauharnais, giunto in città per le nozze con Augusta di Baviera, venne incaricato il Cagnola della realizzazione di un arco trionfale provvisorio: l'arco, monoforo, si ispirava a quello di Tito a Roma, era coronato da una quadriga con gli sposi raffigurati tra statue di Vittorie alate ed era preceduto da una scala affiancata da obelischi. Tale realizzazione avrebbe dovuto poi tradursi in marmo, nella sua versione permanente, come deliberato il 19 febbraio 1806 dal Consiglio Comunale; tuttavia il progetto non trovò mai attuazione.
Niente ancora era stato ancora fatto nel 1825, quando si dovette allestire un nuovo arco monumentale provvisorio in cartongesso, su progetto sempre del Cagnola, per celebrare l'ingresso a Milano dell'Imperatore d'Austria Francesco I e di sua moglie l'Imperatrice Carolina Augusta, avvenuto il 10 maggio 1825. Il Cagnola preparò per l'occasione due progetti: l'uno caratterizzato da un portico tetrastilo architravato, ornato da una quadriga ed altre statue, l'altro - quello che venne poi scelto - caratterizzato da un arco a tre fornici, di cui si conserva un modello in bronzo in scala 1:28 alla Pinacoteca Ambrosiana. Anche in questo caso tuttavia non si riuscì a tradurre in permanente l'arco provvisorio, malgrado le insistenze - ancora nel 1818 - da parte del Cagnola di smontare quanto edificato a Porta Sempione[2], per trasferirlo a Porta Orientale.
Il secondo rifacimento del Vantini (1827-1828)
L'attuale complesso daziario che costituisce oggi Porta Venezia venne realizzato fra il 1827 ed il 1828 su progetto dell’architetto bresciano Rodolfo Vantini, a seguito di un concorso bandito nel 1826 (cui parteciparono 32 concorrenti). Nel 1833 vennero collocate le statue e i rilievi che dettero all'opera il suo aspetto definitivo.Nel 1857 in occasione della visita a Milano dell'Imperatore d'Austria Francesco Giuseppe e della consorte Elisabetta, venne eretto un arco di trionfo temporaneo, in legno, fra i due caselli. Al tempo era usanza di erigere questo genere di architetture temporanee in occasioni particolarmente solenni: in occasione della stessa visita, sul percorso del corteo imperiale, venne eretta una cappella in stile neoromanico al Rondò di Loreto e un palco d'onore con baldacchino in piazza Duomo, sul lato del Coperto dei Figini.
Nel 1860 venne ribattezzata Porta Venezia, in nome della città rimasta austriaca dopo l'"incompiuta" seconda guerra d'indipendenza (1859) e nel 1882 la grande piazza, su cui sboccano ben otto strade,[3] venne intitolata a Guglielmo Oberdan, l'irredentista giuliano impiccato dagli austriaci.
In passato è stata conosciuta anche come Porta Renza, storpiatura come nel caso di Porta Orientale della primitiva Porta Argentea di età romana. L'antica denominazione di Porta Venezia non si riferisce - come è dato comunemente credere - al fatto che sorgesse ad est della città (denominazione che non avrebbe neanche una sua ragione d'essere, dal momento che non è la più orientale della città, bensì lo sarebbe Porta Tosa, la sua succursale già all'epoca della costruzione delle mura medievali). Essa deriverebbe invece dall'antico toponimo latino della porta, che si apriva verso Argentiacum, l'attuale Crescenzago.[4]
mardi 5 mars 2013
Jean-Christophe Rufin @ Milan
Jean Christophe Rufin présente à Milan, dans le cadre du Festival de la Fiction Française, son dernier roman, Le Grand Coeur.
dimanche 3 mars 2013
Mantoue
La ville fut fondée sur les bords duMincio en 2000 av. J.-C. environ. Elle fut ensuite, au vie siècle av. J.-C., un village étrusque. Son nom viendrait deMantus, l'équivalent du dieu Hadès chez les Étrusques. Les Romains, qui conquirent la ville entre la première et laseconde guerre punique, confondirent Mantus avec Manto, une fille deTirésias. Virgile, né non loin de la ville, est surnommé « le cygne de Mantoue ».
Le 18 mars 1086, saint Anselme de Lucques meurt à Mantoue et devient ainsi le saint patron de la ville.
Du début du xiie au début du xive siècle, Mantoue est une république urbaine. Puis, dans le cadre de la lutte entre les Guelfes et lesGibelins, elle passe en 1273 sous l'autorité des Bonacolsi (guelfes), avant que ceux-ci ne soient supplantés en 1328 par les Gonzague(gibelins), qui furent ducs de Mantoue.
La disparition de la lignée ducale directe fut la cause, au xviie siècle, de la guerre de succession de Mantoue, épisode périphérique de la guerre de Trente Ans. Le duché revint cependant à une branche cadette (française, des ducs de Nevers) jusqu'en 1708, date où il fut annexé à l'empire austro-hongrois.
En 1796, durant la campagne d'Italie, le siège de Mantoue, alors tenue par les Autrichiensdura près de 8 mois. La ville ne fut prise par les troupes de Bonaparte qu'en janvier 1797.
Mantoue retourne sous la domination de l'Autriche en 1815 avec le Congrès de Vienne.
En 1866, elle est annexée au royaume d'Italie.
dimanche 17 février 2013
Chiavenna
Chiavenna (Ciavéna in dialetto chiavennasco, Cläven in tedesco) è un comune di circa 7.000 abitanti, della provincia di Sondrio, al centro della valle omonima. Il territorio comunale appartiene alla Diocesi di Como.
Il nome (in latino Clavenna) fa riferimento alla sua posizione chiave per le comunicazioni con la Rezia transalpina e il bacino del Reno. È un importante centro turistico famoso soprattutto per i suoi crotti, l'unico in provincia di Sondrio ad avere ottenuto il riconoscimento di bandiera arancione del Touring Club Italiano, un marchio di qualità turistico-ambientale conferito ai piccoli comuni dell'entroterra italiano. Possiede importanti industrie (birrificio, enologica, tessile cotoniera, scarpe ed articoli sportivi per la montagna).
Il nome (in latino Clavenna) fa riferimento alla sua posizione chiave per le comunicazioni con la Rezia transalpina e il bacino del Reno. È un importante centro turistico famoso soprattutto per i suoi crotti, l'unico in provincia di Sondrio ad avere ottenuto il riconoscimento di bandiera arancione del Touring Club Italiano, un marchio di qualità turistico-ambientale conferito ai piccoli comuni dell'entroterra italiano. Possiede importanti industrie (birrificio, enologica, tessile cotoniera, scarpe ed articoli sportivi per la montagna).
lundi 21 janvier 2013
Il Trastevere
Trastevere è il nome del tredicesimo rione di Roma, indicato con R. XIII[2].
Il nome deriva dal latino trans Tiberim (al di là del Tevere), che era già il nome antico della regione augustea; questo perché la città ebbe origine e principale sviluppo invece nella opposta sponda.
Si trova sulla riva ovest (destra) del fiume Tevere e a sud della Città del Vaticano.
Al tempo delle origini di Roma (754-509 a.C.), la zona di Trastevere era una terra ostile che apparteneva agli Etruschi. Roma la occupò per poter sorvegliare il fiume da ambo i lati. In ogni caso la sua importanza era soltanto strategica: Roma non aveva interesse ad estendersi urbanisticamente su quel lato. Infatti Trastevere era collegato al resto della città solo da un debole ponte di legno, il Sublicio.
In età repubblicana, le zone vicino al fiume si popolarono di quei lavoratori le cui attività erano legate al fiume, come marinai e pescatori, e ci fu una grande affluenza di immigrati orientali, principalmente ebrei e siriani. Per questo nella zona sorsero alcuni templi di culti orientali e fra questi, dirigendosi verso il Gianicolo, è visitabile il c.d. Santuario Siriaco.
La considerazione della zona come parte della città inizia con l'imperatoreAugusto, che divise il territorio di Roma in 14 regioni; l'attuale Trastevere era la quattordicesima ed era chiamata regio transtiberina. Tuttavia, tale regione era ancora al di fuori della città vera e propria, almeno fino all'imperatore Aureliano(270-275 d.C.), che fece estendere le mura per includere anche Trastevere, insieme al monte Vaticano.
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